His Blood, In Search of A Face
Jason Edward Lewis avec Bruno Nadeau
Musique par Paul Dolden

Heures d’ouverture: lundi au samedi, midi à 17h

Veuillez noter que du 4 au 7 juin, les heures d’ouverture de l’exposition seront prolongées de 11h à 20h, pour célébrer le lancement de la boutique Le Rhinocéros par Phi.

L’installation His Blood, In Search of A Face est composée des huit oeuvres principales sur écrans du Cycle Poetry for Excitable [Mobile] Media (P.o.E.M.M.), une série de poèmes écrits et conçus afin d’être lus sur des dispositifs tactiles – prenant la forme de surfaces d’exposition grand format tout autant que celle d’écrans d’appareils mobiles. L’ensemble des oeuvres du Cycle P.o.E.M.M. explore les questions suivantes: comment nous parlons-nous? Comment nous situons-nous au sein de vastes géographies culturelles? Comment établissons-nous notre authenticité, en résistant à nos propres attentes et à celles des autres? De quelle façon certaines problématiques qui semblaient si vitales – si essentielles – en viennent-elles à être perçues comme des réalités toutes relatives, dont l’existence dépend d’une chose ou d’une autre? www.poemm.net

DHC/ART remercie Jason Edward Lewis, Bruno Nadeau et leurs partenaires pour leur soutien à la production de cette exposition: Conseil des Arts du Canada, Conseil de recherches en sciences humaines, Fonds de recherche du Québec – Société et la culture, l’Université de Concordia, Hexagram, et imagineNATIVE.

Jason Edward Lewis est un artiste en médias numériques, un poète et un concepteur de logiciels. Il est titulaire de la Chaire de recherche sur les médias numériques et l’imaginaire futuriste autochtone ainsi que professeur de design et d’arts numériques à l’Université Concordia. Il est également lauréat de la Fondation Trudeau. Il est fondateur du laboratoire de médias expérimentaux Obx et est co-fondateur et co-directeur du réseau de recherche Aboriginal Territories in Cyberspace. Ses autres intérêts incluent l’informatique comme matériau créatif, ainsi que la théorie et l’histoire des médias émergents. Il explore aussi la façon dont le code fabriqué à la main peut donner naissance à des mots bien forgés.