DHC/ART est heureuse de présenter Particules de réalité, première exposition personnelle au Canada de la célèbre artiste israélienne Michal Rovner, qui partage son temps entre New York et une ferme en Israël.
Déployant des marques numériques minutieuses pour créer des langages hautement lyriques, Michal Rovner réalise des œuvres feuilletées et intentionnellement ambiguës faisant appel à des processus de documentation historique, à l’archéologie, à la science et à la chorégraphie pour susciter des états de rêverie méditative chez le regardeur.
Élaborée en étroite collaboration avec l’artiste et chevauchant deux sites, la présentation de sculptures et de vidéos de DHC/ART évoque celle du musée d’histoire naturelle dans son édifice principal, alors que des installations vidéo occupent son espace satellite.
DHC/ART est heureuse de présenter Particules de réalité, première exposition personnelle au Canada de la célèbre artiste israélienne Michal Rovner, qui partage son temps entre New York et une ferme en Israël.
Déployant des marques numériques minutieuses pour créer des langages hautement lyriques, Michal Rovner réalise des œuvres feuilletées et intentionnellement ambiguës faisant appel à des processus de documentation historique, à l’archéologie, à la science et à la chorégraphie pour susciter des états de rêverie méditative chez le regardeur.
Élaborée en étroite collaboration avec l’artiste et chevauchant deux sites, la présentation de sculptures et de vidéos de DHC/ART évoque celle du musée d’histoire naturelle dans son édifice principal, alors que des installations vidéo occupent son espace satellite.
L’exposition propose des œuvres-clés comme Data Zone (2003), un groupe de longues tables incorporant des boîtes de Petri dans lesquelles des groupes silencieux de figures abstraites se forment et se reforment, rappelant les cultures en laboratoire. In Stone (2004) et Stones (2006-2009) fusionnent la lumière et la pierre, combinant l’ancien et le moderne dans une archéologie animée par des images au mouvement lent, évocatrices de hiéroglyphes, de pétroglyphes et de peintures rupestres. Finalement, une suite de fascinantes installations vidéo, Order, More et Culture Plate #7, comprenant toutes des figures emblématiques ou anonymes en formation, se conclut par le monumental Time Left (2002), un grand opéra sur l’isolement et le contact, dans lequel des rangs successifs de figures humaines composent un vaste texte mural en mouvement, parcourant sans cesse tout le périmètre d’une pièce vers une destination inconnue.
L’exposition est accompagnée de projections ininterrompues de Border (2000), un documentaire «fictionnel» kafkaïen, tourné à la frontière très chargée entre Israël et le Liban, qui se penche sur la validité ultime de cette désignation arbitraire, tout en tentant de la situer et de la traverser; et de The Making of Makom (2008), une vidéo qui suit la construction d’un projet sculptural où l’artiste réunit et annote, comme lors d’une fouille archéologique, soixante tonnes de pierres de construction provenant des débris de résidences palestiniennes et israéliennes, pour construire une structure moins simple qu’il n’y paraît.